J’ai toujours le même problème avec les livres de Marc Bruimaud. J’attaque la première page vers 23H30 (je ne lis qu’au pieu, le mot « lit » indique d’ailleurs clairement que c’est le meilleur endroit pour le faire), tout en me faisant la promesse de ne découvrir qu’une nouvelle ou deux, pas plus : il me faut absolument en garder pour le lendemain. Car Marc est un écrivain qui déteste les fioritures, les scories comme il dit. Il va à l’essentiel et ses textes sont serrés comme un ristretto italien : courts, amers et forts.
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